Monday 11 April 2011

Liban, ya Habibi (Liban, ô mon amour)

Je t'avais oubliée
Terre des cèdres et des oliviers
Comme ta chaleur me pénètre
Comme mon coeur a vibré
Le jour où de nouveau
J'ai pu fouler ton sol
O sang de mon sang
Je t'avais oublié
Toi grand Liban qui renais de tes cendres
Où la vie ne meurt pas
Où les rires essuient les larmes
Liban aux mains tendues
Pour donner, ne rien garder
Comme j'ai aimé retrouver
La douceur de tes montagnes
La rondeur de tes crêtes
Le bleu de ta mer
Et plus que tout,
Les sourires de ton peuple
Je ne t'oublierai plus
Liban ya Habibi, au coeur gros comme ça.
L'amour est la substance même de la vie.
C'est ce que nous recherchons tous,
car nous sommes faits pour aimer.
Père Ceyrac